Les
bureaux du Santa Barbara Conscience
Santa Barbara |
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C'est dans un quartier calme de la ville qu'à l'automne 1991, Warren Lockridge installe les bureaux du journal qu'il vient de créer, le Santa Barbara Conscience. D'abord seul, puis avec une équipe restreinte, Warren tient son quotidien d'une main de fer. Parmi les journalistes plus ou moins occasionnels, on compte Flame Beaufort, Suzanne Collier qu'il engage dans un premier temps comme photographe, puis Katrina Ruyker.
On entre dans les bureaux par une double porte en bois, qui donne accès directement à la salle de rédaction.
Après l'explosion causée par Craig Hunt qui ravage les bureaux fin 1991, le local est entièrement refait à neuf. Le bois de la porte d'entrée est éclairci et le mobilier changé. D'un espace important, la salle de rédaction paraît cependant bien vide pour un journal quotidien. Les nombreux bureaux manquent de rédacteurs, les machines à écrire et ordinateurs ne semblent utilisés que par Warren, et il manque l'effervescence qu'on pourrait attendre d'un tel lieu.
Au fond de la pièce, une arcade sépare l'espace en deux parties. Celle qui nous est donnée de voir héberge le bureau de Warren, l'autre partie donne accès à sa pièce de vie.
Seul Warren, en tant que directeur du journal, bénéficie d'un bureau attitré. Il y écrit ses articles, relit, réfléchit.
A côté du bureau, en contournant un meuble, on accède à une salle marquée "privée". C'est la pièce de vie de Warren, l'endroit où il passe ses soirées et ses nuits. Décorée de nombreux objets exotiques et de photos rapportées de ses multiples voyages à travers le monde, la pièce ne comporte que peu de meubles : un bureau et un canapé convertible qui sert aussi de lit à Warren. Au fond de la pièce sur la gauche, une porte donne accès à une petite salle de bains.
C'est dans cette pièce qu'au printemps 1992, Warren héberge le jeune Troy Rhodes, qui s'avère être en fait B.J. Walker, le prochain amour de sa vie...