Les Roméos, héros et jolis coeurs de Santa Barbara ! | |||||
Par Rosemary Rossi, Soap Opera Update, 1989 |
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Rencontrez certains des hommes les plus passionnants de Santa Barbara, le soap vainqueur aux Emmy awards avec un penchant pour l'humour et une passion pour la romance. Soap Opera Update a réuni les acteurs qui incarnent C.C. et Mason Capwell, Cruz et Ric Castillo, Mack Blake et Ethan Asher, et leurs points de vue sur la série et particulièrement sur les amours de leurs vies, les femmes de Santa Barbara, vont vous passionner !
Ethan
le juste, le superbe Leigh McCloskey
«La plupart du temps les fans écrivent qu'ils sont contents qu'on ait trouvé un moyen pour que je puisse rester dans la série. J'ai constaté que même lorsque je jouais Zack, je recevais des lettres à double sens qui disaient avec élégance : "Je vous déteste pour ce que vous faites aux femmes, j'espère que vous souffrirez et brûlerez en enfer." A présent elles disent : "Je pense que vous êtes vraiment un merveilleux acteur et j'espère qu'ils vous garderont dans la série." Il y a des choses que j'ai dû abandonner dans ma performance. Comme le fait que j'étais quasiment un néo-nazi quand j'ai fais mon retour. J'étais très dur et un peu à la droite de, probablement, Genghis Khan et je suis revenu sur mon côté humaniste. Mais je pense qu'alors que nous continuons à développer Ethan, il est en train de devenir davantage une vraie personne.»
Sur
le fait de travailler avec Robin Mattson et Christopher Norris
«Je trouve que travailler avec Christopher et Robin est très enrichissant et
je les trouve toutes les deux très professionnelles. Il est merveilleux de voir
Christopher jouer une femme si mauvaise parce qu'elle est tellement l'opposée
dans la vraie vie. Elle est délicieuse. Ce qui est intéressant avec Robin, qui
est également une très bonne actrice, est qu'elle a une énergie très différente
de Christopher. Travailler ainsi entre elles deux est un challenge. Elles font
émerger des facettes différentes d'Ethan.»
Le
dynamique C.C. Capwell, le séduisant Jed Allan
Sur les
femmes de Santa Barbara
«Nous avons une grande variété de personnalités. Nous n'avons pas que de
beaux visages. Ce sont des actrices merveilleuses. Elles ont toutes des
personnalités totalement différentes qui jouent dans les conflits et les rapports
en même temps. Cela rend la série intéressante.»
Sur
le rapport d'amour/haine entre C.C. et Sophia
«C'était une chose positive dès le début. Elle s'est installée très
fortement. C'est tout ce que vous nourrit dans
un large degré. Si les acteurs travaillent toujours dans cette optique, c'est
qu'ils sont liés d'une certaine façon sur le plateau.»
Sur
les leçons de C.C. dans la vie
«S'il apprend trop, il peut devenir très ennuyeux. Le problème est que s'il
apprend trop, ça ne reflète pas sa personnalité. Ce qui le rend intéressant
est que vous ne savez pas ce qui va se produire. Si vous pouviez le devancer, il
serait fait.»
Sur
ce qu'il aime au sujet de C.C.
«C'est dingue tout ce qui s'est passé après ce temps. Quand j'ai commencé la
première fois à jouer C.C., j'ai pensé qu'il était très éloigné du
personnage que j'ai joué dans Des Jours et des Vies, Don Craig.
Eh bien il n'en est pas si éloigné. Tout vient ensemble. Quand vous jouez
quelque chose assez longtemps, vous trouvez plus de parts de vous-même dans
votre personnage que vous ne l'avez jamais réalisé. Vous donnez
fondamentalement ce que vous êtes.»
Sur
son démarrage dans le rôle de C.C.
«J'ai essayé d'obtenir le rôle avant même qu'il soit à l'antenne. Ils ont
dit que j'étais trop jeune. Ils ne pouvaient pas me débaucher de Des
Jours et des Vies, même si Des Jours et des Vies ne
m'utilisait pas très bien. Santa Barbara a dû attendre une année
et demi pour m'avoir.»
Cruz
l'irrésistible,
le merveilleux A Martinez
Si Cruz
pouvait faire n'importe quoi au monde pour Eden
«Ce serait d'aller à Kawai, à la partie nord-ouest de l'île où la route
se termine. Nous descendrions la côte et marcherions
le long de cette route qui avance le long des falaises. Nous aurions juste assez
de l'abri que représenterait mon corps. Nous descendrions alors la plage sur
environ 15 milles vers le sud. C'est la plage que vous ne pouvez pas atteindre
à moins que vous fassiez de l'escalade,
ce qui est très ardu et que peu de personnes tentent. Alors nous resterions là
et dormirions pendant le jour à l'ombre et resterions toute la nuit sous les étoiles
et nagerions dans l'océan. Ce serait mon fantasme et la chose la plus
merveilleuse qu'on puisse faire avec sa compagne.»
Ce
qu'il n'a jamais essayé avec son épouse Leslie
«Nous n'avons rien fait de cet acabit récemment, mais d'un autre côté, nous
n'avons pas eu beaucoup de temps à nous. Nous sommes essentiellement là pour
nos enfants. Nous avons eu beaucoup de temps en tant que couple avant que les
enfants arrivent, et je sais, Dieu merci, que nous aurons beaucoup d'années
ensemble après. Ce qui ne doit pas dire que nous ne nous amusons pas, parce que
c'est le cas. Nous aimons vraiment passer du temps à quatre. Je pense que cela
changera encore. En ce moment je pense qu'ils sont si jeunes qu'ils ont besoin
d'attention presque tout le temps. Et nous voulons vraiment, autant que nous le
pouvons, faire de cette
attention notre souci.»
Mason le diabolique, le talentueux Terry Lester
Sur la chose
la plus idiote que vous avez dû faire en tant que le Mason
«Afin de récupérer Julia après avoir été jeté hors de la maison, Mason lui a
envoyé une brouette pleine de roses. Il a réalisé des cassettes vidéo avec
une caméra qu'il a eue dans sa chambre qu'il a alors jouées sur un magnétoscope
qu'il avait relié à l'antenne de sa maison afin que, quelque soit la chaîne qu'elle
regarde, elle voit "Mason aime Julia". Pendant ce temps, il était dehors sous une
pluie battante avec un parapluie à chanter Raindrops Keep Falling on my
Head et à réciter du Shakespeare, et pendant tout ce temps à se maintenir à
une distance de 5 mètres de la propriété à
cause de l'interdiction légale qu'elle avait eu contre lui.»
Sur
la raison pour laquelle Mason n'est pas fidèle à Julia
«C'est un personnage moralement très faible. Il n'a pas intégré les normes
morales avec lesquelles tout le monde vit. Après qu'il l'ait enlevée, il y a
eu une scène émouvante où Mason a dit : "Je ne suis pas un homme moral,
mais je t'aime et tu es la chose la plus proche d'une conscience que j'ai jamais
eue. Si tu peux m'aimer alors, je saurais que je peux mériter d'être aimé."
C'est plutôt sa position.»
Ric
Castillo le volatile, le sexy Peter Love
Sur ce qui
fait illuminer Ric et Kelly
«Je pense que nous parlons de nous personnellement, pas de nos personnages.
Quand Carrington Garland (Kelly) et moi nous sommes rencontrés, nous avons passé
une semaine merveilleuse à Paris. Et nous avons juste connu la bonne alchimie.
Nous sommes devenus de grands amis. Mais il y a une telle tension sexuelle qui
se joue à chaque instant ici qu'elle se voit sur l'écran.»
Le
futur de Ric et Kelly ensemble
«Je voudrais juste être le sauveur. Il y a tellement de types de situations
auxquelles nous pourrions être confrontés, que ce soit une île abandonnée,
ou un kidnapping, juste des scènes d'action. Je voudrais être filmé dans de
telles situations où elle verrait le bon côté de moi mais où d'autres
verraient toujours le mauvais.»
Mack le malfaisant, le dévastateur Steve Bond
Sur la façon
dont son personnage est perçu
«La façon dont ils voient Mack est Monsieur Parfait. Je ne pense pas que c'est
la manière dont il est arrivé et que c'est la manière dont je le joue. Je
pense que ça a à voir avec ce que vous êtes, ce que vous dégagez en tant que
personne. Personne ne m'a jamais accusé d'être un Monsieur Parfait
tout le temps. Je pense qu'il est intéressant de jouer des personnages
hauts en couleurs. Je les trouve plus passionnants.»
Sur
les femmes dans la vie de Mack, Gina et Phyllis
«Il voit Gina comme sa soeur qui s'est toujours fourrée dans les problèmes.
Elle parle toujours avant de penser. Elle fait toujours les choses
impulsivement. Ses besoins et ses désirs viennent avant le reste du monde. Il
voit sa mère comme quelqu'un de totalement individualiste et quelqu'un de très
circonspect. Mais il veille sur elles, les accepte et traite avec elles au cas
par cas. Il accepte ce qu'elles sont, mais il les corrige toujours avec son
propre sens du bien et du mal.»